Vous avez peut-être lu l'épisode 1 de cette saga des bonnes pratiques RSE. Découvrez aujourd'hui la suite et fin, autour des 9 bonnes pratiques restantes, organisées en 3 questions centrales. A la fin de cet article, vous aurez toutes les clés pour formaliser une démarche RSE durable, efficace et respectueuse de la norme ISO 26000.
V. Les bonnes pratiques des affaires
Cette question centrale concerne l’éthique et la loyauté des pratiques.
- #13 : Définir une charte de déontologie : prévenir tout acte de corruption.
- #14 : Prévenir la concurrence déloyale : mettre en place une politique et des règles internes.
- #15 : Développer des liens durables avec les fournisseurs : mettre en place des partenariats, privilégier des prestataires responsables.
VI. Les questions relatives aux consommateurs
L’organisation a également des responsabilités vis-à-vis de ses usagers, et notamment le respect de ses intérêts.
- #16 : Garantir la transparence de l’offre commerciale : rédiger les informations avant vente et avoir des contrats clairs.
- #17 : Mettre en place des enquêtes de satisfaction : prendre en compte les remarques des clients pour améliorer les produits et services.
- #18 : Mettre en place une politique de gestion des risques : recenser les risques de sécurité et de santé pour les consommateurs, déployer des actions de prévention.
VII. L'engagement sociétal
La société civile représente également une partie prenante de l’organisation.
- #19 : Proposer du mécénat de compétences : mettre à disposition des collaborateurs pour des associations.
- #20 : Privilégier les achats locaux : choisir des prestataires du territoire pour favoriser la création d’emplois.
- #21 : Participer à des initiatives d’intérêt général : contribuer à des causes solidaires et environnementales.
Notez que les actions RSE prioritaires dépendent fortement de la taille et du secteur. C’est pourquoi il est nécessaire de mener une réflexion globale sur son organisation et ses pratiques.