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La recherche de la juste posture : Relyance, acteur de l’ergonomie relationnelle

Quel point commun entre médiation, audit organisationnel et formation en gestion de conflits ? Mes interventions tendent toutes à restaurer un équilibre entre efficacité et confort au sein de l’organisation. En un mot : à aider les organisations à devenir ergonomiques. L’ergonomie relationnelle est un levier clé pour une performance durable.

 

L’ergonomie relationnelle, pour une approche durable

Trop souvent, le terme d’ergonomie se trouve réduit au travail sur la posture physique, avec un zoom sur la prévention des troubles musculo-squelettiques. Ces interventions sont nécessaires mais non suffisantes, si elles ne sont pas complétées par un travail sur l’ergonomie relationnelle.

Il n’est plus à prouver que nouveaux projets et changements de stratégie vont aussi faire « mal » qu’un mouvement répétitif et entraîner de nombreux impacts sur la santé des individus et les relations internes.

Alors : comment prévenir et gérer les risques psycho-sociaux et le stress (ergonomie cognitive) ou encore les dysfonctionnements internes à la « structure »  (ergonomie organisationnelle) ?

 

Relyance, acteur de l’ergonomie relationnelle

​Mon travail s’organise comme celui d’un ergonome « physique » : je réalise des actions visant à limiter l’impact d’un élément sur un autre, dans une approche durable.

Dans le cas qui nous concerne – l’ergonomie relationnelle – il s’agira de limiter l’impact réciproque :

  • d’une transformation organisationnelle sur les relations entre individus,
  • et à l’inverse des relations entre individus sur le fonctionnement interne de l’entreprise.

Certes, il est rare que je sois consultée par un client pour un problème d’« ergonomie relationnelle ». Ce sont souvent les problèmes de communication, les personnalités toxiques ou encore les jeux psychologiques qui déclenchent la demande d’intervention. Mais sous la surface, transparaissent rapidement les dysfonctionnements relationnels.

Cette situation est d’ailleurs assez logique : ni notre éducation, ni notre culture professionnelle ne nous apprennent à « chouchouter » la relation, à l’entretenir. Encore minoritaires sont ceux qui prennent conscience du capital économique représenté par des relations saines au sein de l’organisation.

Et pourtant …
Bientôt 5 ans et plus de 100 interventions différentes en entreprise m’amènent à un constat sans équivoque : l’ergonomie relationnelle constitue le principal levier pour libérer la confiance dans une organisation. Seules des relations de confiance – sans peur de la sanction suivant une erreur ou un échec – vont permettre aux salariés de libérer leur potentiel au service d’une organisation souple et agile.

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